Paris, Gallimard, (3 juillet) 1974.
1 vol. (150 x 220 mm) de 289 p. et [1] f. Broché, sous couverture illustrée.
Retirage de juillet sous une nouvelle jaquette, qui fait aveu de l’identité de Gary en tant qu’auteur.
Exemplaire poinçonné du service de presse.
Une fois le secret révélé, le retirage du livre, à partir de juillet, propose une nouvelle couverture : sur la première, le visage de Gary apparaît sur un timbre-poste fictif ; sur la quatrième, le texte suivant : « On aurait tort de croire que j’ai choisi un pseudonyme pour Les Têtes de Stéphanie parce qu’il s’agit de ce qu’on appelle parfois du bout des lèvres “un roman d’espionnage”. Je l’ai fait parce que j’éprouve parfois le besoin de changer d’identité, de me séparer de moi-même, l’espace d’un livre. (…) Je révèle aujourd’hui mon identité réelle parce que de toute façon, certains critiques ont percé le secret de cette “réincarnation”… »
Rare en service de presse.
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