Paris, Bernard Grasset, 1926
1 vol. (121 x 188 mm) de 205 pp. et 1 f., broché, sous emboitage (Julie Nadot)
1 vol. (121 x 188 mm) de 205 pp. et 1 f., broché, sous emboitage (Julie Nadot)
Édition originale.
Un des 10 exemplaires sur japon (après 7 exemplaires sur Chine) - celui numéroté H.C. II des trois hors commerce.
Un des 10 exemplaires sur japon (après 7 exemplaires sur Chine) - celui numéroté H.C. II des trois hors commerce.
Triple envoi signé et nombreux dessins originaux de "dyables" en tête des chapitre.
Composé à la hâte pour sortir en même temps que « Défense de l'Occident » du maurrassien Henri Massis, et lui proposant une vision radicalement contraire, cet ouvrage connut un succès plus que mitigé. Il semble devoir beaucoup à l'influence du philosophe allemand Oswald Spengler, qui avait publié en 1918 « Le Déclin de l'Occident » : une philosophie de la décadence qui démontre qu'il en est de la mort d'une culture comme de celle de n'importe quelle autre forme vivante. André Malraux doit à sa première femme, Clara, d'avoir découvert ce livre lors d'un voyage à Berlin en 1921.
Extraordinaire exemplaire offert aux "femmes de sa vie" : sa mère, sa grand-mère et sa tante.
L'exemplaire H.C. I, qui le précède, avait été offert à Clara Malraux - sans dessin.
L'exemplaire H.C. I, qui le précède, avait été offert à Clara Malraux - sans dessin.
Notre exemplaire est parsemé, tout au long du texte, de dessins originaux à la mine de plomb par Malraux : ses fameux petits "dyables", parfois nommés et légendés.
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