Le Pèse-nerfs

Antonin Artaud

Le Pèse-nerfs

Marseille, Les Cahiers du Sud, coll. « Critique » n° 5, (9 mars) 1927.
1 vol. (140 x 195 mm) de 80 p. et [2] f. Broché, non coupé.

Édition originale dans le commerce, après un tirage confidentiel à 65 exemplaires en 1925.
Un des 21 premiers exemplaires sur hollande (n° X).

Frontispice d’André Masson.

« Toute l’écriture est de la cochonnerie » : une manière, pour Artaud, de dire, après Breton, qu’il réfute la littérature, la pose et l’affectation littéraires, « la gent littéraire ». « Je suis celui qui a le mieux senti le désarroi stupéfiant de sa langue dans ses relations avec la pensée (…) pas d’oeuvres, pas de langue, pas de parole, pas d’esprit, rien. Rien, sinon un beau Pèse-Nerfs. Une sorte de station incompréhensible et toute droite au milieu de tout dans l’esprit. ».

Rousseurs aux premiers et dernier feuillets.

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