Paris, La Connaissance, coll. « Bijoux typographiques », (octobre) 1924.
1 vol. (125 x 165 mm) de 39 p. et [2] f. Maroquin taupe à encadrement, tabis gris sur les plats avec filet doré, titre doré en long, tête dorée, contreplats à encadrement, gardes de tabis gris, couvertures et dos conservés, chemise et étui (reliure signée P.-L. Martin, 1957).
Édition originale.
Chaque page est imprimée en noir sur fond de décor vert figurant du papier peint fleuri avec des objets religieux.
Tirage unique à 150 exemplaires sur papier de Rives (n° 7).
Envoi signé : « Sur cette vilaine lèpre je jette mon manteau, cher Gérard. M. J. ».
Petit bijou typographique, réalisé par Pierre Dykmans, qui est également la deuxième publication de Marcel Jouhandeau, après La Jeunesse de Théophile (1921), et sa première nouvelle.
Elle est éditée par René-Louis Doyon, qui, outre texte, publia les premiers textes d’un jeune homme de Bondy qui fut son premier employé de librairie, après avoir été son principal pourvoyeur en éditions rares chinées chez les bouquinistes : André Malraux.
Fine et précoce reliure de Pierre-Lucien Martin, datée de 1957.