L’Inconnu sur la terre

L’Inconnu sur la terre

Paris, Gallimard, coll. “Le Chemin”, (14 février) 1978.
1 vol. (140 x 210 mm) de 325 p. et [1] f. Demi-maroquin marron à bandes, titre et tête dorées, date en pied, couverture et dos conservés, étui bordé (reliure signée de Loutrel-Delaporte).

Édition originale.
Un des 26 premiers exemplaires sur vergé blanc de Hollande (n° 3).

« Je veux écrire pour la beauté du regard, pour la pureté du langage. […] Je veux écrire pour être du côté des animaux et des enfants, du côté de ceux qui voient le monde tel qu’il est, qui connaissent toute sa beauté […] ». Cette phrase programmatique de L’inconnu sur la terre est citée dans le Monde du 11 octobre 2008 par Patrick Kechichian, lorsque ce dernier annonce l’attribution du prix Nobel à J.-M.G. Le Clézio. Il la considère comme emblématique de « l’aventure poétique et de l’extase sensuelle » récompensée par l’Académie suédoise. L’Inconnu sur la terre demeure un des livres les plus secrets de Le Clézio, visionnaire de l’humanité future qui souhaite rendre compte, sous forme de méditations poétiques et ponctuées de dessins légers, d’un itinéraire spirituel qui avait, peu s’en faut, bien cheminé : entre 1967 et 1978, la route de Le Clézio était passée par le Mexique et par la rencontre avec un autre monde indien, celui de la méso-Amérique, des indiens Huicholes de la sierra Madre et des Embéras du Panama.

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