Les Voix intérieures : A Olympio

Victor Hugo

Les Voix intérieures : A Olympio

[1835]. 

1 feuillet (200 x 130 mm) de 4 lignes à l’encre. 

Extrait de quatre vers du poème « À Olympio » placé au chapitre XXX des Voix intérieures, composé en juin 1835. 

« Laissons gronder en bas cet orage irrité / Qui toujours nous assiège ; / Et gardons au-dessus notre tranquillité, / Comme le mont sa neige. / V. H. » 

Le poème XXX des Voix intérieures, qui s’intitule « À Olympio », est daté du 15 octobre 1835. Son titre est postérieur au manuscrit, renforçant l’usage que Hugo va faire de ce patronyme, qui n’est autre que son « pseudonyme » : le poète lui-même, celui qui devient Olympio, celui qui impose au monde la voix de celui qui peint l’injustice dont il est victime. Quatre vers qui marquent toute l’aspiration à la sagesse et au recul dont le poète doit faire montre face aux attaques, celles de la critique, comme celle de la vie. Avec « La Cloche », vraisemblablement le poème le plus important du recueil. 

 

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