[S.l.n.d., circa 1963]
1 vol. (230 x 290 mm) de [53] f., sous chemise plastique noir.
Rarissime et sans donc unique jeu du dactylogramme, en fac-similé de l’original, perdu.
Cette nouvelle fut rédigée à Echandens, en décembre 1962. Elle ne connaîtra qu’une parution, en revue dans les n° 901 et 902 des 29 mars et 5 avril 1963 du magazine Elle. Il n’en existe pas de manuscrit, la nouvelle ayant été directement été frappé à la machine, comme bon nombre des écrits d’après-guerre. Le dactylogramme original est perdu, et il n’existe aucune copie (ni au Fonds familial Simenon, ni au Fonds Simenon de Liège). Notre document est l’unique fac-similé de ce dactylogramme, avec d’abondantes corrections. Il est inconnu à Menguy et à toutes les bibliographies consacrées à Simenon, y compris celle d’Yves Martina, la plus complète à ce jour.
Il comporte un feuillet de dédicace, inédit, adressé à sa femme Denise, qui, « un matin m’a raconté un rêve de poésie pure […]. Personne, sauf elle et moi, ne connaîtra la véritable histoire de Nolépitois et de la Nolépitoise… ».
Une édition unique de cette nouvelle sera réalisée en 1999, à 26 exemplaires, “aux dépens d’un amateur” [Michel Schepens], établie d’après la version publiée dans le magazine Elle.
Le texte liminaire n’y figure donc pas.
Nous joignons les deux numéros du magazine Elle (n° 901 et 902), dans laquelle est publiée la nouvelle.
Provenance : Bibliothèque de Bernard de Fallois – sans doute offert par Simenon, lequel lui offrit plusieurs autres dactylogrammes et éditions rares.
✒️ Menguy, 216 (pour l’édition parue dans “Elle”) ; Martina, p. 1585 et sq.
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