Le Vagabond solitaire

Jack Kerouac

Le Vagabond solitaire

Paris, Gallimard, coll. « Du monde entier », (10 juin) 1969
1 vol. (125 x 195 mm) de 250 p. et [3] f. Broché, non coupé.

Édition originale de la traduction par J. Autret.
Un des 26 premiers exemplaires sur vélin pur fil (n° 8), seul papier.

Le plus petit tirage des grands papiers de Kerouac en traduction française.

L’ascension de Matterhorn, montagne culminant à 4 000 mètres d’altitude dans la Sierra Nevada, restait comme le morceau de bravoure des Clochards célestes. Bouleversé par cette expérience, Kerouac obtient l’année suivante, par l’un de ses amis bouddhistes, Philip Whalen, le poste de surveillant des feux à Desolation Peak. On y trouvera aussi dans le recueil le fameux Grand voyage en Europe, qui commence sur un cargo effectuant la traversée de l’Atlantique et le mène à Tanger où il côtoie William Burroughs, qui y rédige Le Festin nu ; Kerouac y raconte également sa traversée vers la France et la découverte de Paris, « la plus belle ville du monde », puis de l’Angleterre.

De l’expérience d’un poste de « surveillant d’incendies » au sommet du Desolation Peak, dans un parc national de l’Etat de Washington, Kerouac rédige « Seul au sommet d’une montagne », le récit qui donnera le ton du Vagabond solitaire, recueil de huit nouvelles formant roman à vocation initiatique sur le thème de l’errance.

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