L’Amérique inattendue
André Maurois

L’Amérique inattendue

Paris, Ed. Mornay, (10 octobre) 1931.
1 vol. (135 x 190 mm) de 185 p., [1] et 1 f. Broché. 

 

Édition originale. Portrait de l’auteur en frontispice par Berthold Mahn.
Un des 78 premiers exemplaires sur japon (n° 46). 

Envoi signé : « Pour monsieur Jean Toin, amicalement, André Maurois ». 

En 1930, à l’occasion d’une chaire de littérature qu’on lui offre en Amérique, André Maurois part à Princeton, New Jersey, pour quelques mois. Ce voyage sera pour lui le moyen de donner aux Français une nouvelle vision de l’Amérique. L’agitation, la suprématie de l’argent, la violence, autant d’idées reçues que l’auteur tente de relativiser, par la parution de plusieurs articles parus à son retour. Il décide de les réunir en y ajoutant une longue introduction, citant le philosophe et homme politique irlandais Edmund Burke, qui, en 1793, parlant de la France aux Anglais, disait qu’« on ne peut condamner une nation toute entière » : « Quand cette nation est jeune, vivante et ne demande qu’à nous connaître mieux, ne vous semble-t-il pas plus humain et plus sage d’essayer de la comprendre que de la condamner ? ». 

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