La Mort d’une mère

Roger Peyrefitte

La Mort d’une mère

Paris, Flammarion, (avril) 1950. 
1 vol. (130 x 200 mm) de 219 p. et [1] f. Broché. 

 

Édition originale.
Un des 30 premiers exemplaires sur chiffon de Lana, celui-ci hors commerce
(n° III).

Envoi signé : « pour Monsieur Armand Flammarion, en cordial hommage, Peyrefitte ». 

Sans doute la meilleure période de Roger Peyrefitte, qui détaille ici l’amour filial avec élégance, respect et distance. L’un de ses textes les plus touchants. 

Après ses premiers écrits, tous publiés chez Jean Vigneau, à Marseille, Peyrefitte signe en 1949 chez Flammarion : La Mort d’une mère sera le premier roman qu’il y publiera. 

Précieux exemplaire de son nouvel éditeur, Armand Flammarion. 

C’est, évidemment, pour ses Amitiés particulières, sulfureux prix Renaudot de 1945, que Roger Peyrefitte est resté dans les mémoires. Cet ancien élève des jésuites, né à Castres en 1907, est sorti major de la section diplomatique de l’Ecole libre des sciences politiques. Entré en 1931 au Quai-d’Orsay, il fut le diplomate le plus jeune et le plus décoré avant d’être révoqué… C’est ce qu’il décrira dans Les Ambassades (1951), satire de la Carrière, lui valurent des communiqués fiévreux du quai d’Orsay, qui ne firent que concourir au succès. Peyrefitte publiera chez Flammarion jusqu’en 1976. 

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