Paris, Gallimard, (18 février) 1965.
1 vol. (140 x 205 mm) de 230 p. et [4] f. Broché.
Édition originale.
Envoi signé : « à Monsieur Gilles Couffon, avec toute ma sympathie, Paris, le 5 mars 1965, J.M.G. Le Clézio ».
La Fièvre est un recueil de nouvelles sur de petites folies passagères, dont la matière est puisée « dans une expérience familière ». Le Clézio, qui n’a pas encore quitté l’angoisse des villes, enrage littéralement, à la suite du Procès-verbal : fièvre, douleur, rage de dents, fatigue et sommeil jalonnent les nouvelles, dénonçant la perte de contrôle des corps, des sens de la société moderne.
Le deuxième livre publié de Le Clézio.