Paris, Éditions de la Galerie Simon, (27 décembre) 1923.
1 vol. (195 x 250 mm) de 14 f. (y compris les illustrations). Broché.
Édition originale.
Illustré de 3 lithographies en couleurs de Suzanne Roger.
Tirage à 112 exemplaires, un des 100 exemplaires sur vergé d’Arches, signé par l’auteur et l’illustratrice (n° 43).
Suzanne Roger est l’épouse du peintre André Beaudin, ami de Juan Gris, et c’est sa première – et seule – apparition chez Daniel-Henry Kahnweiler. Lorsque ce dernier lui confie l’illustration du texte de Max Jacob, elle n’a que vingt-quatre ans : « elle n’a jamais illustré de livre et n’a pas beaucoup d’expérience de la gravure. Elle choisit la lithographie dont elle apprécie la spontanéité d’expression et transpose dans son propre univers poétique, l’atmosphère fantastique du texte du poète » (Alexandre Illi & Eliott Cardet, DHK, éditeur, n° 22).
C’est le cinquième Max Jacob publié chez Kahnweiler, après Saint Matorel (1911), Frère Matorel (1912), Le Siège de Jérusalem (1914), Ne coupez pas mademoiselle (1921).
Skira 312 ; Hugues 15 ; Chapon p. 284 ; Galland p. 902 | Lib. L’Exemplaire et Illi, Daniel-Henry Kahnweiler éditeur, 22.
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