Journal d’un poète
Antoine Blondin

Journal d’un poète

Paris, La Table Ronde, (mars) 1993. 
1 vol. (170 x 245 mm) de [96] p. Broché, non coupé. 

 

Édition originale.
Un des 60 premiers exemplaires sur Rivoli, celui-ci hors commerce
(n° 52).

En 1936, à l’âge de treize ans et demi, Blondin est pensionnaire chez les maristes de Senlis. Ses parents, peu enclins à assumer leurs rôles, l’ont placé dès l’âge de neuf ans dans un pensionnat. Mais c’est au lycée Louis-le-Grand, où il reste un élève moyen mais aimant la lecture, qu’il se met à écrire et découvre sa vocation. C’est en tout cas ce qu’il laisse entendre dans son journal intime, qu’il tient chaque jour, ici reproduit en fac-similé. Il faut «regarder les choses en farce», plaidait-il. Dès cette jeunesse, il préfére l’amitié aux honneurs, le panache à l’ambition, l’insouciance à la raison et écrit pour recoudre les morceaux d’une vie sourdement partie en lambeaux : «Très vite, confie-t-il, il m’est apparu que je serais moins un romancier d’aventures que de mésaventures.»

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