Je m’en vais

Jean Echenoz

Je m’en vais

Paris, Éditions de Minuit, (22 juin) 1999.
1 vol. (135 x 185 mm) de 252 p. et [2] f. Maroquin marine, dos lisse, titre doré, date en pied, tranches dorées sur témoins, doublures et gardes de velours bleu, couvertures et dos conservés, étui bordé (Loutrel-Delaporte).

Édition originale.
Un des 99 premiers exemplaires sur vergé de Vizille (n° 95), seul papier.

Je m’en vais, qui constitue le pendant d’Un an paru deux ans auparavant, sera couronné par le prix Goncourt : l’histoire y était sensiblement la même, vécue et racontée par le prisme de Delahaye et d’une conquête de Ferrer, Victoire, qui n’apparaît que furtivement dans Je m’en vais. Jean Echenoz travaille ici une fois encore le merveilleux style qui le caractérise, celui décrit par Philippe Djian comme « un travail d’artisan où il faut tripoter les mots. Ce sont des bouts de ficelle. Un écrivain sérieux ne peut pas s’intéresser à autre chose, sinon c’est un historien ou un sociologue, ou un mauvais romancier. Le maître absolu, à ce jeu-là, est Jean Echenoz. C’est le meilleur styliste, aujourd’hui. »

Très bel exemplaire, dans une parfaite reliure de Loutrel.

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