La Femme 100 têtes
Max Ernst

La Femme 100 têtes

Paris, Édition du carrefour, (20 décembre) 1929.
1 vol. (185 x 245 mm), non paginé. Bradel de maroquin noir grain long à encadrement, titre doré au dos, premier plat orné d’une radiographie sous mica, tête dorée, couvertures conservées, emboîtage (reliure signée de Loutrel). 

 

Édition originale.
Un des 900 exemplaires sur papier vélin teinté (n° 237). 

Préface d’André Breton, présentant les 146 collages par Max Ernst. 

« Si c’est la plume qui fait le plumage, ce n’est pas la colle qui fait le collage » : Max Ernst nous livre ici ses premiers collages,  empreints d’hallucinations, loin du dadaïsme de ses débuts, où se succèdent des créations poétiques et humoristiques. André Breton y souligne la valeur des coupes (dans les images conventionnelles d’une « histoire ») et les détournements (dans le « déjà vu » ou le « déjà employé ») dont est capable le surréalisme : faire apparaître un monde merveilleux et onirique, irréel et illusoire. 

Étonnante reliure de Patrick Loutrel, qui a inséré au premier plat une radiographie d’une colonne vertébrale. 

Restauration angulaire au feuillet de la dernière planche. 

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