Élégies majeures

François Mitterrand (de la bibliothèque de), Léopold Sédar Senghor

Élégies majeures

Paris, Seuil, (juin) 1979
1 vol. (145 x 215 mm) de 123 p. et [2] f. Broché, dans un emboîtage de Julie Nadot.

Édition originale.
Un des 210 premiers exemplaires sur Sirène de Sainte-Marie (n° 6), seul papier.

Envoi signé : « À François Mitterrand, à l’Ecrivain, en hommage d’amicale admiration. L. 26 juin 1979 ».

C’est en 1956 que paraissent les Éthiopiques, qui font de Léopold Sédar Senghor un poète majeur. Ministre de Gaulle en 1958, élu en 1960 à la tête de la toute nouvelle République du Sénégal, il devient le chef de file de l’Afrique francophone, nouant une réelle amitié avec Georges Pompidou, ancien condisciple d’Henri IV et agrégé de lettres comme lui.

En 1979, lorsqu’il lui offre ces Élégies majeures, François Mitterrand n’est encore que premier secrétaire du parti socialiste (depuis le congrès d’Épinay, en 1971). Et c’est bien l’écrivain Senghor salue. En 1981, au moment où François Mitterrand accède à la plus haute fonction de l’État, le président-poète africain a quitté la vie politique depuis un an. Élu à l’Académie française le 2 juin 1983 au fauteuil du duc de Lévis-Mirepoix, il est reçu sous la Coupole le 29 mars 1984, en présence du Président de la République, François Mitterrand, qui s’y rend pour la première fois ès qualité. Il n’y retournera que deux ans plus tard, pour la célébration du trois cent-cinquantième anniversaire de l’institution.

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