Montpellier, Fata Morgana, (13 février) 1992.
1 vol. (215 x 250 mm) de 16 p. et [3] f. En feuilles.
Édition originale.
Un des 30 premiers exemplaires sur Rives, celui-ci signé par l’artiste et l’auteur.
5 photographies évocatrices et suggestives de Julie Ganzin, tirées par la photographe en noir.
Ce livre est le deuxième illustré par la photographe, après La Mandragore en 1991, sur un texte de Michel-Ange Serreti.
Ce titre sera repris deux ans plus tard par Edouard Boubat, le photographe et ami de l’écrivain, pour un de ses derniers livres en hommage à Lella, sa muse.
Christian Bobin, amateur de photographies, a souvent mis en couverture de ses livres des images de Boubat (La Part manquante, La Petite Robe de fête) et lui a même consacré un très beau livre : Donne-moi quelque chose qui ne meure pas.
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