C’était bien
Jean d'Ormesson

C’était bien

Paris, Gallimard, (9 décembre) 2002.
1 vol. (145 x 215 mm) de 252 p. et [3] f. Broché, non coupé.

Édition originale.
Un des 90 premiers exemplaires sur vélin pur fil Malmenayde (n° 15).

Ce livre n’est pas un roman, du moins il n’est pas un roman d’imagination. Il s’agit du recueil testamentaire de Jean d’Ormesson. Pour la première fois, il évoque sans artifices ni faux-semblants littéraires son expérience, son passé, les heures les plus haletantes de sa vie longue et aventureuse. L’occasion pour l’académicien de s’interroger sur la réalité du bonheur et sur la capacité du monde à produire méchancetés et vices. Jean d’Ormesson y égraine ses passions multiples: les livres, les femmes, la mer Méditerranée… Une confession qui donne à voir les pensées intimes de l’écrivain qui, toujours avec cette douceur si particulière, aime ici à se mettre lui-même en scène. Un beau moment littéraire qui mélange la mélancolie du temps qui passe à l’allégresse d’une vie extraordinaire. Légèreté et gravité.

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