Paris, Gallimard, (22 janvier) 2024.
1 vol. (145 x 215 mm) de 397 p., [4], 4 et [1] f. Broché, non coupé.
Édition originale.
Un des 35 premiers exemplaires sur vélin Rivoli (n° 31), seul papier.
Faux roman, vrai récit, à la fois témoignage et hommage aux siens, ce « Brest, de brume et de feu » entame un cycle de trois « portraits de villes ». Paris et Rome suivront. À la manière d’un Gracq géographe – que Le Guillou aime par-dessus tout -, c’est « en enseignant, en écrivant, en désirant et en aimant » que Philippe Le Guillou a mené ses textes pour décrire ce kaléidoscope « lié au miracle de Brest, à son magnétisme, à ses ciels, au jeu des averses et des éclaircies […] ; sa palette neutre, presque éteinte, oui cette grisaille qui n’en est pas vraiment une, ce soleil caché qui ne demande qu’à percer, cette pluie aussi qui s’apparente à une bruine souple, salée, presque enveloppante – ce gris unique et lumineux, cette grâce de Brest que seuls savent capter les fidèles et les fervents ».
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