Paris, Cité universelle, 1947
1 vol. Broché. Étui-chemise plein papier, dos lisse, titre doré.
Édition originale.
Premier tirage – pas de grands papiers.

Envoi signé : " pour Jacqueline Bernard, pour le souvenir qui ne cessera d'être présent, pour l'amitié, bien affectueusement, Robert Antelme ".
Exemplaire sous la couverture de relais de la maison d’édition Robert Marin, qui racheta les exemplaires publiés initialement dans l’éphémère maison d’édition La Cité humaine, fondée en 1946 par Robert Antelme, le mari de Marguerite Donnadieu [Duras]. L’espèce humaine sera leur troisième et dernière publication.
Plusieurs centaines d’exemplaires furent alors revêtus d’une étiquette de relais, « Éditions Robert Marin » et d’une nouvelle couverture jaune, remplaçant la couverture noire et rouge initiale. Le corps d’ouvrage ne subit, quant à lui, aucune modification.
« Chaque fois que la question : Qui est autrui ? vient dans notre langage, je pense au livre de Robert Antelme, écrit Maurice Blanchot, car ce livre n'est pas seulement le témoignage sur la société des camps, il nous conduit à une réflexion essentielle... par une telle lecture, nous comprenons que l'homme est l'indestructible et que pourtant il peut être détruit «. L'humanité sous la boue, et la boue sous l'humanité.
Ecrivain, journaliste et traductrice chez Gallimard, Jacqueline Bernard fut une proche de nombreux auteurs Gallimard (Queneau, Camus, Sartre...) ; elle traduisit notamment Les Souterrains de Kerouac (1964).
Texte majeur et rare avec envoi.

Papier uniformément jauni et cassant, deux petit manques angulaires au premier feuillet.
De la bibliothèque Jacques Attali, avec ex-libris. 
25026

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